Rite d’York
Si le rite d’York connaît sa genèse en Écosse, ce sont les franc-maçons irlandais qui contribueront à l’exporter en Amérique du Nord au XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle.
Il prend sa dénomination de rite américain par distinction avec le rite émulation qui se codifie lorsque les loges des Anciens et des Modernes s’unissent en 1813. Les États-Unis, absentes de l’union entre deux conceptions de la franc-maçonnerie qui voit le jour en Grande-Bretagne, gardent ainsi toute l’originalité et l’authenticité de ce rite.